jeudi 8 décembre 2011

Songes






j’écris au vent des pages des mots aux cris de l’âge qui semés par l’oubli de chavirer la mémoire subliment l’extase de virevolter la beauté  , la bonté , d’essayer de comprendre  la fragilité de l’être, de l’artiste et si le poème pulvérisé m’exalte de beauté,  je ne peux que m’astreindre à penser que la lecture ou s’annote des brides de pensées est le stimulateur de notre puissance créatrice  qui ne peut qu’émerger quand se plongeant dans l’enfance des nos songes oubliés.

1 commentaire:

  1. Un beau titre qui m'enchante
    J'entends déjà dans l'ombre
    murmurer la source
    qui ne saurait tarir.

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