j’écris au vent des pages des mots aux cris de l’âge qui semés par l’oubli de chavirer la mémoire subliment l’extase de virevolter la beauté , la bonté , d’essayer de comprendre la fragilité de l’être, de l’artiste et si le poème pulvérisé m’exalte de beauté, je ne peux que m’astreindre à penser que la lecture ou s’annote des brides de pensées est le stimulateur de notre puissance créatrice qui ne peut qu’émerger quand se plongeant dans l’enfance des nos songes oubliés.
Un beau titre qui m'enchante
RépondreSupprimerJ'entends déjà dans l'ombre
murmurer la source
qui ne saurait tarir.